Top 20 des franchises Jeux Vidéo qu’on voudrait voir moins souvent

Avant-Propos: Ce top a été fait par le vote de l’ensemble des membres du site, ainsi que leur avis personnel sur ces franchises. Pour autant, les différents paragraphes ne représente pas nécessairement l’avis général de Geeks And Com’, et peuvent donc être en désaccord avec des critiques, éditos ou chroniques effectués par d’autres de ses rédacteurs

C’est un fait, certaines franchises vidéoludiques sont de véritables succès, qu’ils soient publics ou critiques. Cependant, cela ne réussit, de temps à autre, que grâce à l’exploitation un peu trop abusive d’une licence, avec son lot d’inconvénients: Promesses non tenues, toujours la même expérience proposée, peu de nouveautés incluses, etc. Pire, il existe aussi une certaine lassitude, au point où le joueur commence à être gavé comme une oie par ce qu’offre l’éditeur avec son jeu. À l’heure où la surproduction de titres AAA d’une même saga sort chaque année, il est légitime de se demander s’il ne serait pas temps de faire une pause.

Quelles franchises mériteraient un arrêt pendant une durée prolongée? C’est la question que la rédaction de Geeks And Com’ s’est posée lors de la création de ce top.

20 – Metal Gear Solid

Si elle n’en est pas moins mythique, il faut avouer que cette licence est l’exemple même de la série qu’on souhaiterait voir s’arrêter un moment. Chaque opus possède une aura inégalée, et il serait regrettable que ce pilier du Jeu Vidéo cède à cause d’un épisode de trop. Surtout que la franchise a failli prendre du plomb dans l’aile avec la gestation assez difficile du projet Rising, qui a fini dans les mains de Platinum Games, pour un développement assez chaotique. Loin d’être un mauvais jeu, Metal Gear Rising Revengeance n’a, pour autant, pas convaincu tout le monde. De plus, les récentes décisions éditoriales de Konami concernant le prologue de Metal Gear Solid V ont fait couler beaucoup d’encre, malgré des résultats de vente plutôt bons. The Phantom Pain est donc attendu au tournant, autant par les fans acharnés que par les détracteurs. Et puis, si MGS se voit accorder une pause, voire une réelle fin, cela permettra à Hideo Kojima de nous proposer un nouveau projet comme Silent Hills, ou pourquoi pas de faire revenir Zone of The Enders, Snatcher ou Policenauts.

Metal_Gear_Solid_Graphic_Novels

19 – Final Fantasy

Autre licence phare japonaise, la saga Final Fantasy est, typiquement, atteinte du syndrome C’était mieux avant. Depuis son âge d’or sur PlayStation avec le 7ème opus, la série a eu du mal à se renouveler, malgré des spin-offs de très bonne facture, un reboot de FFXIV de qualité, et des remakes très intelligents d’anciens opus. Malheureusement, FFXIII est considéré par les joueurs comme l’une des plus mauvaises expériences de jeu à l’heure actuelle sur la numérotation canonique, et ce n’est pas les très bons rattrapages de FFXIII-2 et Lightning Returns qui redoreront le blason. FFXV d’ailleurs n’est pas mieux loti. Véritable arlésienne vidéoludique, il se verra retirer l’exclusivité à Sony et un changement de nom, d’équipe et de contenu déjà créé, 7 ans après son annonce en 2006. Les premiers échos parlent d’un jeu plus orienté action, plus casual que d’habitude, où l’on ne contrôle que le personnage principal, Noctis. Bref, il ne semble avoir des Final Fantasy que le nom. Espérons que tous ces changements draconiens ne le desserviront pas.

Final Fantasy XV

18 – Street Fighter

Peu de jeu de combat peuvent se targuer d’avoir tenu assez longtemps pour imposer un style. C’est le cas de Street Fighter, avec pas moins de 54 jeux sur la licence, dont 19 sur la série principale. Un record, pour un genre qui ne se renouvelle guère. On a d’ailleurs le problème sous la main: Seul cinq d’entre eux sont tout à fait différents, les 14 autres n’étant que des améliorations techniques avec ajouts de cartes et personnages jouables. Même si la qualité de ces titres est loin d’être critiquable, on se demandera tout de même l’utilité d’autant de versions, parfois disponible sur les mêmes supports. Quant à Street Fighter V, du peu que nous avons pu voir, il nous est difficile d’en conclure une réelle avancée quelconque, tant la démo technique était très (trop?) proche de SFIV, ce qui fait un brin peur pour le final tant attendu sur nos PlayStation 4 et PC. Le roi sera-t-il détrôné? Réponse fin 2015.

Street Fighter V

17 – Need For Speed

Electronic Arts adore exploiter le filon d’une franchise, surtout si elle possède un potentiel aussi lucratif que Need For Speed. Le célèbre jeu de courses a vu le jour sur PlayStation, et malgré une surexploitation impressionnante et quelques records de vente, force est de constater que peu d’opus auront réussi à marquer les esprits. Ne parlons même pas du film, qui est un échec commercial, dû notamment à un jeu d’acteur absent, alors que l’investissement sur le projet était conséquent. Avec des concurrents plutôt agressifs bien que lorgnant plus vers la simulation automobile, Forza Horizon et Gran Turismo pour ne citer qu’eux, il est clair que Need For Speed doit revoir un minimum sa copie. Peut-être vaut-il mieux retirer la série du champ de vision des joueurs quelque temps, comme c’est le cas avec Burnout, pour revenir avec du contenu impactant.

Need For Speed Rivals

16 – La série des Souls

Demon Souls, Dark Souls, et bientôt Bloodborne. le travail sur la série de From Software est tout simplement admirable. Gameplay exigeant, expérience jouissive et difficulté très relevée: Finir ces jeux est à la fois un plaisir et un véritable défi. Il est cependant assez compliqué de dire que chaque jeu est mémorable. Le contenu est globalement le même, assez répétitif, et très peu accessible à tous. Qu’on se le dise, même si la licence est une valeur sûre, elle ne reste la cible que d’un public de niche, à qui on offre littéralement toujours la même soupe un poil réchauffée. Heureusement, d’après les premières impressions, Bloodborne semble corriger le tir, pour notre plus grand bonheur. Il serait désagréable que l’exclusivité Sony rate son élan si bien entamé, pour un épisode encore trop proche des précédents.

Blooborne

15 – Dragon Age

L’opus Inquisition aura su faire sensation cette année, notamment grâce à un mode histoire particulièrement recherché. Malheureusement, certaines missions annexes sont sans grand intérêt, faisant plus office de remplissage forcé que de réel contenu réfléchi, sans compter le charisme de nos compagnons qui se voit dégradé. Après un second épisode plutôt décrié, la série semble s’essouffler sur le long terme, alors qu’elle apporte toujours un petit plus non négligeable, ainsi qu’un regain de popularité suite à Inquisition. Serait-ce donc l’Action-Aventure-RPG de trop pour Electronic Arts ? A priori non, surtout en vu du nombre d’heures proposées. Pour autant, il serait bien d’attendre 4-5 ans minimum avant de revoir Dragon Age dans nos consoles ou PC, pour éviter l’overdose.

Dragon Age Inquisition

14 – Gears of War

Tout va mal pour la célèbre franchise de Microsoft. Malgré un travail acharné sur l’opus Judgment, de la part de People Can Fly et Epic Games, force est de constater qu’ils ont réussi à lamentablement se louper. On fait vite le tour de l’histoire, qui d’ailleurs est moins bien construite que ses prédécesseurs, le multi est en deçà des premiers opus, le level design est à la ramasse, et plein d’autres subtilités. Si le dernier jeu était censé enterrer la Xbox 360 dignement, il n’en est rien, laissant un amer goût de trahison et de contenu pas très frais dans la bouche. Ce sera donc sans passion que les fans attendent l’arrivée d’un éventuel prochain épisode. Et si, justement, ce ne serait pas l’occasion de se retirer du marché pour exploiter une autre filière, histoire de renflouer un peu cette saga?

Gears Of War

13 – Batman Arkham

Rocksteady l’avait annoncé, Batman Arkham Knight sera l’épisode final de leur trilogie. Au regard du travail accompli, on ne peut que saluer cette prise de position pour une franchise si bien pensée, et qui aura eu l’audace de remettre en avant le super-héros de DC Comics parmi l’une des meilleures adaptations existantes à ce jour. Ce n’est pas, par contre, la position de Warner Bros, qui a déjà sorti une suite en interne, sous forme de prequel. Même si Arkham Origin n’est pas mauvais, il n’aura pas non plus de succès phénoménal, étant vu comme le vilain petit canard de la franchise. Gageons que l’éditeur décide de prendre au sérieux la décision de Rocksteady, et qu’il ne sortira pas un énième opus sans saveur particulière. Sinon, un ennui naissant et sensé se fera rapidement sentir.

Batman Arkham Knight

12 – Halo

Depuis la prise en main de 343 Industries sur la licence, une certaine lassitude est de rigueur chez les joueurs. Que ce soit par une casualisation de la franchise, ou une érosion du soin apporté à la création des nouveaux titres, l’essence même de la série a totalement disparu avec le départ des créateurs d’origine. La touche Bungie manque, c’est un fait, et ce ne sont pas les multiples tentatives de séduire les fans qui auront manqué. Notons tout de même que la Master Chief Collection sur Xbox One a le mérite de relancer quelque peu l’engouement, avec du vieux. Quant à la bêta de Halo 5 proposée pendant un trop court laps de temps, elle nous a plutôt mis l’eau à la bouche, mais avec très peu de contenu. Il est donc encore trop tôt pour conclure quoi que ce soit sur le futur de la franchise. Mais à une sortie à peine 3 ans après celle du 4ème épisode, est-il possible que ce soit trop court pour un projet de cette envergure?

Halo

11 – Les jeux de sports

Nous connaissons tous le phénomène des jeux du monde sportif sur nos différents supports, qui nous reviennent chaque année avec des mises à jour plus ou moins importantes, sans réelle utilité sur le court terme, et qui voient une vraie exploitation des innovations apportées que 2-3 jeux après. Alors soit, tous les jeux de sport ne sont pas dans ce cas, limite caricatural. Mais les principaux en tête oui. Ne serait-il pas plus judicieux de faire un opus riche, avec 2 à 3 ans de mise à jour mineure, sous forme de DLC à 10 Euros par exemple, puis dans un second temps une nouvelle sortie avec les-dîtes innovations majeures et apportant une vraie plus-value à notre expérience de jeu? Il existe tant de pistes envisageables, et pourtant peu de réflexions autour de ces axes de la part des éditeurs. Après tout, le public est présent et achète chaque année. Le premier travail serait peut-être à envisager un changement de nos habitudes de consommation d’un produit.

Fifa

10 – The Legend Of Zelda

Si vous avez suivi un peu l’actualité vidéoludique ces deux dernières années, pas moins de 5 The Legend of Zelda sont sortis ou en cours: Ocarina of Time 3D, Wind Waker HD, A Link Between Worlds, Majora’s Mask 3D et bien évidemment, le temps attendu The Legend of Zelda prévu sur WiiU et censé arriver fin 2015 : un rythme effréné pour une franchise toujours aussi bonne, mais dont les remasterisations inquiètent énormément, surtout à des prix assez forts qui ne sont pas prêts de baisser. Il est vrai que la Wii U va mal et un fer de lance tel que Zelda est un plus non négligeable. Cependant, un opus tous les 4 ans par plateforme, et une alternance entre les consoles portables et de salon, le tout avec le moins de remakes possible, paraît être un compromis plus qu’acceptable.

The Legend of Zelda WIIU

09 – Sonic

Si Sega a récemment décidé qu’il ne se concentrera que sur les jeux PC et smartphone dans un avenir proche, rien n’a été communiqué sur l’une de ses plus vieilles licences, celle du hérisson bleu. Car si Sonic n’a pas gagné la guerre contre Mario, la mascotte de l’entreprise aura eu droit à une multitude de jeux, tous plutôt maladroits depuis l’âge Dreamcast. Et encore, on ne comptabilise pas les clones des jeux à succès, tels que Doodle Jump et Temple Run, sur smartphone, qui n’accueillent pas de grands adeptes. Dommage, Sega mobile s’en sort bien dernièrement au Japon. Espérons qu’ils réussissent cet exploit sur le vieux continent. Une chose est sûre: Il est temps que Sega arrête de martyriser ses propres franchises et laisse le soin à d’autres éditeurs d’en exploiter un filon plus sain.

Sonic

08 – Battlefield

Il fut un temps où l’apparition d’un Battlefied était synonyme d’évolution technique, inventivité et fun à plusieurs. Depuis Battlefield 3, on a évidemment une baisse cruciale de qualité dans ce que nous propose la célèbre franchise de DICE. Il n’y a plus de claque graphique, comme à l’époque grâce au Frosbite 2 et sa puissance qui semblait être inégalée. Le studio eut aussi quelques soucis sur le multijoueur de Battlefield 4 pendant plusieurs mois. Enfin, on ne peut négliger l’aspect DLC à 70 Euros qui émane du prochain opus, Battlefield Hardline, développé par Visceral Games, malgré un constat plutôt positif sur la bêta début février. Pourquoi ne pas piocher dans quelques essais fructueux du passé comme Battlefield 2142 ? Qu’on se le dise, Electronic Arts se repose un peu trop sur ses lauriers, ne prenant plus aucun risque, ce qui n’augure rien de bon pour le futur de la série.

Battlefield Hardline

07 – Pokémon

Avez-vous fait attention? Depuis 2009, Gamefreaks a concocté pas moins de 11 opus de la franchise des Pocket Monsters pour Nintendo. L’upgrade graphique et quelques nouveautés techniques sont bien présentes. Mais avec une recette qui peine à se renouveler complètement, il est difficile de les apprécier à leur juste valeur. Sincèrement, les créateurs et les fans méritent un titre tirant parti de la dernière décennie de progrès de technologie et de conception d’un jeu vidéo de ce genre, plutôt que de simplement s’appuyer sur ​​de vieux fondamentaux dépassés. Heureusement que quelques spin-offs voient le jour, en particulier Pokkén Tournament, jeu de combat développé par Bandai Namco Games et la Pokémon Company, qui sortira d’abord sur arcade au Japon en 2015, avant de se voir distribuer sur les consoles Nintendo. Sinon, il y a de quoi frôler l’overdose Pokémaniaco-dépréssive.

Pokemon

06 – Far Cry

Depuis le rachat de la franchise à Crytek, Ubisoft a réussi à imposer sa vision personnelle sur cette licence, malgré quelques couacs avec l’épisode 2 et son système de soins, suite à l’exposition à la malaria, très mal géré. Pour beaucoup, Far Cry 3 est l’opus le plus marquant à l’heure actuelle. Le quatrième, quant à lui, laissera un arrière-goût de version 3.5 nonobstant, quand même, des axes scénaristiques très soignés et un éditeur de cartes complet. Mais c’est un fait, la série est populaire et bonne, à raison. Et quand on voit la surexploitation actuelle des jeux Ubisoft, on espère simplement que Far Cry n’aura pas le même parcourt chaotique que subit actuellement le mal aimé Assassin’s Creed. Malheureusement, ceci n’est possible que par un remaniement drastique de la politique éditoriale et marketing de l’éditeur, ce qui risque de ne pas arriver avant un long moment a priori.

Far Cry 4

05 – Les jeux Telltale

Telltale Games a un catalogue vidéoludique assez impressionant pour un petit éditeur, et il est présent sur tous les fronts: Game Of Thrones, Borderlands et bientôt Minecraft, Walking Dead ou encore The Wolf Among Us. Il est vrai que le format épisodique est maintenant démocratisé, grâce au travail du studio et à sa vision du jeu vidéo, mais aussi car les développeurs réussissent à s’approprier un univers déjà existant pour créer un contenu inédit de qualité. Seulement beaucoup de défauts sont toujours présents, en commençant par un gameplay simpliste au possible. Au-delà de ça, leur moteur graphique est très mal calibré, pour un rendu maladroit non homogène et qui freeze sur certains supports. Enfin leur dose de travail n’aide en rien, le studio bossant sur trop de titres à l’heure actuelle pour peaufiner ces détails. Une pause bien méritée, histoire de vérifier ce qui ne marche pas, ne serait pas négligeable.

The Walking Dead

04 – Resident Evil

Un souci récurrent, lorsque l’on considère une franchise appartenant à Capcom, est souvent sa surexposition et son mauvais traitement. Et Resident Evil en est le parfait exemple. Non content de faire pas moins de 6 portages de Resident Evil 4, l’épisode tournant de la série, l’éditeur aura sacrifié l’essence de ses titres au fur et à mesure, pour un profil beaucoup plus action. Quant aux scénarios, disons que l’on oscille entre le peu crédible et le pas terrible, même si le fan service est toujours présent. Comme si le jeu suivait la tendance de l’adaptation cinématographique de Paul W.S. Anderson. Et quid de l’utilité d’un format épisodique sur le prochain, Revelations 2, étalé sur le mois de mars. Capcom prend des décisions avec de lourdes conséquences sur la qualité des Biohazard, et c’est dommage. Décidément, le Survival Horror, ce n’est plus ce que c’était.

Resident Evil

03 – Mario

Vous rappelez-vous l’époque où vous étiez totalement excité à l’idée de voir le mot Mario dans le titre d’un jeu ? Personnellement, depuis Galaxy ça ne m’est plus jamais arrivé. Et pour cause: Nintendo n’a plus développé un seul épisode du plombier moustachu aussi charismatique qu’un Super Mario 64, exploitant à fond toutes les capacités techniques de la console support. On a bien droit à des Tennis, Golf, Party, Maker, Kart, Jeux Olympiques, ou encore New Super Mario Bros, tous très bons dans leur approche. Toujours est-il qu’on est loin de cette immersion de gameplay et d’idée qu’on est en droit d’attendre de la part de la firme de Kyôto. L’overdose de Party Game commence vraiment à se faire ressentir, et à ce rythme-là, on risque un destin aussi funeste pour Mario que son concurrent direct chez Sega. Ce serait d’une tristesse sans nom.

Mario Party

02 – Call Of Duty

Enfermé dans ses mécaniques et ses habitudes, Call Of Duty attire un public de moins en moins conquis, avec des chiffres records de vente qui diminuent, opus après opus. Ce qui est paradoxal, car Advanced Warfare aura réussi l’exploit de dépoussiérer tant bien que mal son gameplay et ses graphismes, avec notamment un nouveau moteur. Et pourtant, avec actuellement 3 studios autour de la franchise, on était en droit de s’attendre à un travail en amont plus important sur la série. Il n’en est rien et Call Of Duty s’essouffle, aux joueurs toujours aussi jeunes et insouciants, voire immatures. Si Activision poussait ses développeurs à retravailler le scénario, histoire de le rendre beaucoup moins manichéen et caricatural, ainsi que de repenser le multi pas toujours accessible aux néophytes, on pourrait alors sortir de notre expérience de jeu sans ressentir cette sensation de lassitude.

Call Of Duty Advanced Warfare

01 – Assassin’s Creed

Et dire qu’à ses débuts, on pensait impossible qu’une franchise telle que Assassin’s Creed ne sorte tous les ans. Ubisoft a pris des risques, c’est un fait, avec ce simili reboot de la franchise. Malgré un gap graphique assez conséquent, et la modélisation – Point fort des Assassin’s Creed– de la ville de Paris incroyable, Unity avait besoin de ces mois supplémentaires, qui lui ont manqué, pour soigner son rendu final. Cette mauvaise sensation de tester des versions bêta au lieu des jeux retail est fortement désagréable. Et ce n’est pas uniquement Assassin’s Creed qui en a fait les frais cette année. Ubisoft a de belles licences, mais elles ont besoin de beaucoup plus de temps pour respirer et avoir de nouvelles idées. Et si leur survie nécessite une attente plus longue, avec une alternance des sorties des gros AAA de l’éditeur, qu’il en soit ainsi.

Assassin's Creed Unity