Le film Les Sept Mercenaires dans sa version originale The Magnificent Seven est un film basé sur la production cinématographique des Sept Samouraïs sortie en 1954. Ce long-métrage raconte l’histoire d’un homme d’affaire riche, nommé Bartholomew Bogue, qui veut prendre possession de la petite ville de Rose Creek. Pour ce faire, il engage des hommes pour intimider le village afin de créer de la peur chez les habitants. Emma Cullen, femme d’un villageois tué par l’homme d’affaire, fait appelle aux sept mercenaires qui est constitué de hors-la-loi, de chasseurs de primes, de joueurs et tueurs à gages. Sam Chisolm, Josh Farraday, Goodnight Robicheaux, Jack Horne, Billy Rocks, Vasquez et Red Haverst vont défendre le petit village de Rose Creek, mais cette bataille n’est pas seulement basée sur l’argent, mais bien plus encore.
Fiche technique
- Date de sortie : 23 septembre (Amérique du Nord)/ 28 septembre 2016 (France)
- Genre : Western/Action/Aventure
- Classement : 13+ Violence (Québec) / PG13
- Réalisé par Antoine Fuqua
- Scénariste : Richard Wenk, Hideo Oguni
- Producteur :Roger Birnbaum, Todd Black
- Distributeur : Sony Pictures
- Titre original : The Magnificent Seven
Une histoire simple et agréable
Avec des acteurs de bons calibres comme Denzel Washington, connu pour American Gansters, et Chris Pratt, découvert principalement dans Les Gardiens de la Galaxie, l’histoire du film se déroule dans un Far West américain ou la conquête de l’or était à son comble. Malgré la complexité de l’époque, le film reste en soi léger et fluide. Il n’y a pas de scène extravagante ni d’histoire surprenante, mais l’oeuvre reste tout aussi intéressant grâce à sa simplicité. Le réalisateur n’a pas manqué son coup en ajoutant une touche humoristique aux personnages de Chris Pratt principalement.
Une direction artistique bien, mais sans plus
De nos jours, l’utilisation d’un fonds vert est requise pour permettre aux décors d’être le plus réalistes possible. Le petit village de Rose Creek est constitué d’une rue principale ainsi que de quelques bâtiments, mais le plus important reste l’église du village. En général, les graphismes étaient bien faits, on s’y croyait vraiment à l’époque des cowboys et de la rivalité omniprésente entre ces derniers. De plus, les plans tournés correspondent à la méthode Far West, c’est-à-dire, des images dans lesquelles on voit seulement la ceinture du pantalon, des plans rapprocher sur le temps de réaction dans un duel et bien plus encore. Lors du combat final, il n’y a rien d’extravagant. Le seul bémol qu’il faut ajouter est concernant les personnes qui adorent les animaux. Âmes sensibles s’abstenir dans cette partie finale.
Une gamme de personnages intéressante
Dans cette production cinématographique western, on retrouve une distribution d’acteurs intéressante. Le réalisateur a misé sur la qualité des personnages à la place d’une direction artistique et d’effets spéciaux extravagants. Les sept mercenaires sont formés par Denzel Washington dans le rôle de Sam Chisolm, Chris Pratt dans celui de Josh Farraday, Ethan Hawke joue le personnage de Goodnight Robicheaux, Vincent D’Onofrio dans le rôle de Jack Horne, Byung-Hun Lee interprète le personnage de Billy Rocks, Manuel Garcia-Rulfo joue le rôle de Vasquez et Martin Sensmeier incarne le personnage de Red Harverst. Ces acteurs de bon calibre jouent à merveille leur protagoniste. C’est un élément important qui rend le film léger, simple et agréable à regarder.
Conclusion
Le film Les Sept Mercenaires inspiré des Sept Samouraïs est une production cinématographique agréable à regarder. C’est un genre de film que vous allez pouvoir écouter un vendredi soir avec un bon maïs soufflé, assis confortablement sur votre canapé. Humour, action et simplicité sont au rendez-vous. Il ne faut pas oublier qu’il n’y a rien d’extravagant, c’est simplement une guerre de village qui regroupe des acteurs hors pair.