Fly Me To The Saitama

Fly Me To The Saitama – Critique | Fantasia

Jour 12 : « Dans un Fantasia près de chez vous », je vous parle du film Fly Me To The Saitama. Découvrez mes impressions du film !

Les habitants de Saitama sont les sous-classés de la société japonaise. Ils ont même besoin d’un visa pour visiter Tokyo. Un jeune homme est envoyé à Tokyo afin de faire changer les choses pour les Saitamiens. Mais ce ne sera pas de tout repos pour lui. Les gens de Chiba sont dans la même situation que Saitama. La guerre entre les deux régions fait rage à savoir qui n’aura plus besoin de visa…

Il y a des films japonais vraiment absurdes que tu te dis «bah c’est japonais, faut pas trop y réfléchir». Mais Fly Me to the Saitama pousse le tout à un extrême, encore plus loin. Tiré d’un manga des années 80 que je n’ai pas lu, l’histoire nous plonge dans un conte ou si vous préférez, une légende urbaine sur la guerre entre les deux clans.

L’histoire mélange beaucoup de style, du victorien (genre Visual Kei) au futurisme, du classique au moderne. Ce qui fait un univers visuel bien éclaté. Tellement éclaté, que c’est absurde. L’absurdité est poussé à un tel niveau dans ce film que ça en devient ridicule et ça m’a fait décrocher totalement. C’est sans compter, la performance des acteurs qui est surjouée à un tel point… Que ça en devient ridicule. Ne vous détrompez vous pas, le film est drôle, mais trop déjanté.

Bref, on dit souvent « trop, c’est comme pas assez ». Ici dans ce film, c’est beaucoup de trop… trop de tout. Ça m’a fait décrocher. Peut-être que je n’étais pas dans ce mois ce soir-là…

Fly Me To The Saitama

  • Titre original : 翔んで埼玉
  • Réalisé par : Hideki Takeuchi
  • Scénario par : Yuichi Tokunaga
  • Acteurs : Fumi Nikaido, Gackt, Yusuke Iseya, Masaki Kyomoto
  • Genre : Comédie
  • Durée : 107 min
  • Pays d’origine : Japon
  • Langue : Japonais (sous-titre en anglais)
  • Fantasia : https://fantasiafestival.com/en/film/fly-me-to-the-saitama
Fly Me To The Saitama
Fly Me To The Saitama – Critique | Fantasia
"On dit souvent « trop, c'est comme pas assez ». Ici dans ce film, c'est beaucoup de trop... trop de tout. Ça m'a fait décrocher. Peut-être que je n'étais pas dans ce mois ce soir-là... "
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