Manpower, un des leaders mondiaux des services dans le domaine de l’emploi, vient de publier un livre blanc sur l’utilisation des réseaux sociaux en entreprises et les nouvelles perspectives qu’ils offrent. Il s’appuie sur les résultats d’une étude Manpower sur les réseaux sociaux et fournit des pistes de réflexion, des recommandations et quelques exemples concrets dans le cadre de l’entreprise.
Voici une présentation de ce document trouvé sur le site de Manpower :
Durant les cinquante dernières années, la technologie a transformé notre manière de travailler et les entreprises ont toujours tenté d’en tirer profit. Aujourd’hui, les réseaux sociaux font évoluer le monde du travail. Le réseautage en ligne permet de communiquer et de partager des informations avec une facilité d’utilisation et une puissance révolutionnaire. Les utilisateurs peuvent y accéder partout, notamment au bureau, un point qui suscite l’inquiétude des dirigeants d’entreprise.
Baisse de productivité, réputation, sécurité : quels sont les risques d’une telle pratique et sont-ils réels ?
Les sujets abordés dans le document sont les suivants :
- L’utilisation de réseaux sociaux par les employés sur leur lieu de travail a le pouvoir de changer le monde du travail.
- Beaucoup de sociétés reconnues tirent profit du potentiel de connectivité qu’offrent les médias sociaux afin d’améliorer la productivité, l’innovation, la collaboration, la renommée de l’entreprise et l’engagement des collaborateurs.
- Une étude Manpower révèle que 75% des employeurs affirment que leur société n’a pas véritablement de politique concernant l’utilisation de sites de réseautage au travail. Cela laisse supposer qu’une nette majorité des sociétés préfère attendre avant d’élaborer une politique officielle sur l’utilisation des réseaux sociaux.
- Les dirigeants d’entreprise doivent chercher à exploiter le succès des médias sociaux et la valeur ajoutée qu’ils représentent pour stimuler la performance de la société et fixer de nouveaux objectifs. Toutefois, le but de cette démarche ne doit pas être de contrôler les activités de réseautage des employés, mais de canaliser ces pratiques de manière à ce qu’elles profitent à l’employeur comme à l’employé.